C’est vraiment le monde à l’envers, c’est le moins qu’on puisse dire. Un livre scolaire qui comporte des fautes d’orthographe et de plus en couverture. C’est d’autant plus malheureux que c’est un livre de langue, en l’occurrence le français. Comment cela est-il possible? Et pourtant oui, il n’y a pas de doute, aucun doute.
Logiquement, avant de donner le «bon à tirer», il y des correcteurs qui relisent systématiquement et font les corrections éventuelles. Et puis un livre de 3e année primaire, ce n’est pas la mer à boire, tout de même. Alors, il ne faut pas s’étonner qu’il y ait des diplômés qui ne savent même pas rédiger une simple demande de 3 lignes.
T.B.